faire son vin
Voici notre rosé de muscat 2009, juste aprés son premier soutirage. Le vin est encore trouble, mais on imagine déjà la couleur finale, une fois les particules en suspension éliminées.Correct à boire, il est évidemment trés jeune, incomplet dirait Carama. Quelques mois de repos bien mérité, à la fin de l'année, il devrait être bon pour la mise en bouteilles; mais nous n'en sommes pas encore là.
La décision à été prise, et elle est irrévocable; sauf accident, nous devrions broyer et presser nos olives à la fin du mois de Novembre. Le rapport avec le vin? Et bien, nous allons utiliser notre pressoir à raisins made in Super Jack the bike, dont la puissance n'est plus à prouver, pour tenter de récuperer un peu huile. La quantité estimée ridicule, que nous devrions extraire, pése déjà lourd dans la balance commerciale du pays; ce devrait être l'huile d'olives la plus chére du département, avec un coût de production au litre, qui frise les 278€ (matériels et autres fournitures oléicoles comprises). Peu importe, et comme pour le vin, c'est l'intérêt de la redécouverte qui nous motivent, et le plaisir que j'ai à vous la faire partager sur ce blog où l'on ne se prend pas (du tout) au sérieux.
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